Cloud privé : le retour en force grâce aux IA génératives ?

Voilà, on commence cette journée avec une petite news pour les amateurs de cloud privé ! Selon une étude de Forrester en 2023, pas moins de

79% des quelque 1 300 décideurs cloud interrogés ont déclaré que leur entreprise mettait en œuvre des clouds privés.

Et ce n’est pas tout ! IDC prévoit que les dépenses mondiales pour les services cloud dédiés privés, y compris les clouds privés hébergés, atteindront 20,4 milliards de dollars en 2024, et doubleront au moins d’ici 2027. (Bon, faudra prévoir un budget conséquent, mais ça en vaut peut-être la chandelle, non ?)

Le regain d’intérêt pour le cloud privé

Mais qu’est-ce qui pousse autant d’entreprises à se tourner vers les clouds privés ? La réponse se trouve dans l’essor des IA génératives. (Ah, ces fameuses IA qui génèrent du contenu à la demande, comme des images, des vidéos ou du texte. Une vraie révolution !)

Avec la complexité croissante des charges de travail liées à l’IA, de nombreuses organisations réévaluent leur stratégie cloud. Le consensus des architectes d’entreprise penche désormais vers une infrastructure cloud hybride, combinant cloud public et privé. (Le meilleur des deux mondes, quoi !)

Maîtriser les coûts de l’IA

L’un des principaux facteurs qui poussent à ce virage est le besoin de contrôler les coûts liés à l’IA et au cloud. Les fournisseurs de cloud public se révèlent finalement plus chers que les solutions sur site. (Oui, ces factures monstrueuses font grincer des dents dans les comités de direction.)

Les directeurs financiers commencent à débarquer dans les bureaux des DSI, l’air un peu renfrogné, pour demander des explications sur ces ressources cloud qui coûtent environ 2,5 fois plus cher que prévu. (Oups, mauvaise pioche !)

Des plateformes cloud privées intelligentes

C’est là que des plateformes comme Dell APEX et HPE GreenLake entrent en jeu, désormais équipées pour prendre en charge les IA génératives. (Et oui, les constructeurs matériels se mettent à la page !) Ces solutions offrent la puissance de calcul nécessaire, y compris des GPU, ainsi que la flexibilité requise pour gérer les charges de travail liées à l’IA.

Elles permettent également un contrôle strict de la confidentialité et de la sécurité des données. (Bon, cette sécurité est parfois plus une question de perception que de réalité, mais c’est un autre débat.)

Les défis à relever

Malgré leurs avantages, les clouds privés ne sont pas exempts de défis. Par exemple, les opérations d’IA à grande échelle nécessitent du matériel spécialisé, comme des serveurs équipés de GPU. (Et ça, c’est coûteux et gourmand en énergie, il faut bien l’admettre.)

Les entreprises doivent également comprendre les nouveaux coûts liés aux mises à niveau et à l’entretien de ces infrastructures. Dans de nombreux cas, faire tourner ces charges de travail d’IA sur les fournisseurs de cloud public pourrait s’avérer plus économique. (Oui, le calcul coût-bénéfice est de mise.)

Des solutions émergentes

Heureusement, des solutions émergent, comme la construction de clouds privés au sein de centres de données d’hébergement comme ceux d’Equinix. Ces derniers sont spécialement équipés pour gérer ces exigences en termes d’infrastructure. (Une option à ne pas négliger, surtout si vous n’avez pas envie de vous prendre la tête avec tout ça.)

Après tout, on doit bien finir par sortir du métier des centres de données, non ? Autant laisser les fournisseurs de cloud public, d’hébergement et de services gérés s’en occuper. (Ils sont bien mieux équipés que nous pour ça.)

Le cloud privé est-il une bonne option pour les entreprises ? Bien sûr, les architectes ont toujours eu cette carte dans leur jeu. Ces solutions ont leur utilité, et si elles sont plus rentables ou apportent plus de valeur à l’entreprise, pourquoi s’en priver ? Que ce soit avec ou sans l’IA.

L’avenir prometteur du cloud privé

Mon avis, c’est que les stratégies cloud vont continuer à évoluer au fur et à mesure que les technologies et applications de l’IA se développent. On devrait ainsi assister à une préférence croissante pour certaines alternatives de cloud privé. (Un regain d’intérêt qui devrait ravir les acteurs du secteur !)

Je soupçonne que ces entreprises technologiques qui ont vu l’engouement pour leurs offres de cloud privé diminuer ont aujourd’hui retrouvé leur motivation. Merci l’IA ! (Oui, merci d’avoir remis le cloud privé au goût du jour.)

Un mot de la fin

Bref, l’IA générative apporte un vent de fraîcheur sur le cloud privé. Reste à voir comment les entreprises vont s’adapter pour tirer le meilleur parti de ces nouvelles technologies, tout en maîtrisant leurs coûts et en préservant la confidentialité de leurs données. Une chose est sûre, l’avenir du cloud semble plus excitant que jamais ! (Et ça, c’est plutôt une bonne nouvelle, non ?)