OpenAI utilise la voix de Scarlett Johansson sans son consentement : l’actrice réagit, l’industrie s’interroge

Ouh la la, ça chauffe dans le monde de l’IA ! OpenAI, la célèbre entreprise derrière ChatGPT, se retrouve au cœur d’une nouvelle polémique. Eh oui, on apprend que la société a utilisé la voix de l’actrice Scarlett Johansson dans un projet d’intelligence artificielle sans son consentement. « J’ai été choquée, » a déclaré l’actrice à juste titre. Imaginez un peu la scène : vous êtes tranquillement en train de regarder votre série préférée, et soudain, la voix de l’héroïne vous interpelle depuis votre assistant vocal. Flippant, non ?

OpenAI se défend mais l’actrice n’est pas dupe

Face au tollé suscité, OpenAI s’est empressé de se défendre en affirmant que la voix utilisée n’est pas celle de Johansson mais celle d’une autre actrice professionnelle.

Parce que oui, bien sûr, on va les croire sur parole…

L’entreprise a également assuré qu’elle s’efforçait d’arrêter d’utiliser cette voix. Mais Scarlett Johansson n’est pas dupe et appelle à l’adoption d’une législation pour protéger les individus contre l’appropriation illicite de leur nom ou de leur image.

La crainte des deepfakes et la protection de l’identité numérique

« À une époque où nous sommes tous confrontés aux deepfakes et à la protection de notre propre image, de notre propre travail, de notre propre identité, je pense que ces questions méritent une clarté absolue, » a déclaré l’actrice. Et elle n’a pas tort. Avec les progrès fulgurants de l’IA, les deepfakes (ces vidéos truquées de manière ultra-réaliste) sont devenus un véritable fléau, menaçant notre perception de la réalité. Qui sait, peut-être que cette polémique autour d’OpenAI n’est qu’un énorme deepfake orchestré par une IA malicieuse ? (Non, je plaisante, mais vous voyez où je veux en venir.)

L’Alliance des droits des artistes monte au créneau

Mais Scarlett Johansson n’est pas la seule à s’inquiéter de l’utilisation abusive de l’IA dans la création artistique. Des artistes musicaux de renom, dont Pearl Jam, Nicki Minaj et Billie Eilish, se sont joints à plus de 200 autres dans une lettre ouverte de l’Alliance des droits des artistes. Cette alliance, dirigée par des vétérans de l’industrie, dénonce

« l’utilisation, sans autorisation, de notre travail pour entraîner des modèles d’IA. »

Leur crainte ? Que l’IA ne remplace progressivement le travail des artistes humains par des « sons » et des « images » générés automatiquement.

Concilier l’IA et la créativité humaine

Bien sûr, l’Alliance reconnaît le « potentiel énorme » de l’IA pour faire progresser la créativité humaine. Mais elle appelle les développeurs, les entreprises technologiques et les plateformes en ligne à s’engager à ne pas déployer d’outils ou de contenus générés par l’IA qui « saperaient ou remplaceraient le travail artistique humain. » Un appel à trouver un juste équilibre entre l’innovation technologique et le respect des droits des artistes.

Au final, cette affaire soulève des questions fondamentales sur les droits individuels, la vie privée et la propriété intellectuelle à l’ère de l’IA. Si les deepfakes nous font déjà douter de la réalité, que se passera-t-il lorsque même nos voix pourront être imitées à la perfection ? Bienvenue dans la matrice… (Oui, je sais, c’est une blague un peu facile, mais j’ai pas pu résister.)

Vers une régulation de l’IA dans la création artistique ?

Face à ces préoccupations grandissantes, il est clair que nous avons besoin d’un cadre réglementaire solide pour encadrer l’utilisation de l’IA dans les domaines créatifs. Car si cette technologie ouvre de nouvelles perspectives passionnantes, elle ne doit pas se faire au détriment des artistes et de leur travail. Après tout, l’art est l’expression même de notre humanité, et il serait dommage que l’IA finisse par la remplacer entièrement.

Alors, à vous de jouer ! Que pensez-vous de cette affaire OpenAI/Scarlett Johansson ? L’IA représente-t-elle une menace pour les artistes ou une opportunité à saisir ? N’hésitez pas à partager vos réflexions dans les commentaires. Et qui sait, peut-être qu’un jour, une IA générera elle-même des articles humoristiques sur ce sujet… Ah non, c’est déjà le cas !