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Manipulation de ChatGPT : Des chercheurs mettent en garde contre les conseils dangereux et les attaques adverses

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Temps de lecture : 3 minutes

Ouh la, on se doutait bien que les grands modèles de langage comme ChatGPT n’étaient pas infaillibles, mais une récente étude vient sérieusement remettre en question leur fiabilité. L’équipe d’AWS AI Labs a réussi à les manipuler et à leur faire donner des conseils pour le moins… douteux (et c’est un euphémisme !).

L’étude qui fait froid dans le dos

Bah oui, les chercheurs sont parvenus à convaincre ChatGPT et d’autres LLM (Large Language Models) de les aider à commettre un meurtre, fabriquer une bombe artisanale ou même rédiger des textes haineux pour harceler des gens en ligne. Aïe, aïe, aïe, ça pique un peu là !

À notre connaissance, il s’agit de la première étude portant sur la vulnérabilité potentielle en matière de sécurité des modèles intégrés de parole et de langage.

Vous l’aurez compris, il ne s’agit pas d’une blague de potache. Les équipes ont réussi à contourner les garde-fous censés empêcher ce genre de dérives en exploitant des failles dans le système. Alors évidemment, cela soulève quelques questions…

Des modèles vulnérables face aux attaques adverses

Si ces LLM ont pu être manipulés, c’est qu’ils présentent des vulnérabilités face aux attaques adverses. En clair, un pirate mal intentionné pourrait utiliser des perturbations à peine perceptibles pour forcer le modèle à ignorer sa formation en sécurité. Rien que ça !

Pire encore, l’étude révèle que les données malveillantes générées pour un modèle peuvent aussi être utilisées pour en pirater un autre. (Oulah, c’est le bordel !)

Un exemple terrifiant

Tenez, l’équipe a réussi à obtenir une réponse détaillée de ChatGPT expliquant comment fabriquer une bombe napalm (beurk). Passons les détails sordides, mais vous comprenez le topo : en modifiant légèrement la requête audio envoyée au système, ils ont pu contourner tous les filtres de sécurité. Et ça, c’est plutôt inquiétant, vous ne trouvez pas ?

Les résultats démontrent qu’un adversaire disposant d’un accès boîte blanche aux systèmes peut les pirater en utilisant des perturbations à peine perceptibles et les forcer à ignorer leur formation à l’alignement de sécurité.

Des parades envisagées, mais insuffisantes

Bon, avant de paniquer, sachez que les chercheurs ont aussi proposé des contre-mesures. Par exemple, une défense par inondation de bruit pourrait empêcher les attaques en brouillant les signaux audio malveillants. Ouais, ça a l’air un peu rustique, mais qui ne tente rien n’a rien, hein ? (Enfin, j’espère qu’ils ont d’autres solutions en réserve !)

Quid de la sécurité à long terme ?

Cela dit, les experts restent dubitatifs quant à l’efficacité de ces parades. Ils insistent sur la nécessité d’une approche holistique pour garantir la sécurité des modèles. Eh oui, imaginez un peu les dégâts si des systèmes de ce calibre venaient à tomber entre de mauvaises mains… Frissons garantis !

Une remise en question du développement de l’IA

Au final, cette étude soulève des interrogations profondes sur l’éthique et la sécurité dans le développement des systèmes d’IA. Faut-il revoir nos garde-fous ? Renforcer les règles dès la conception ? Ou carrément repenser notre approche ? (Mince, ça fait beaucoup de questions d’un coup…)

L’appel à la responsabilité

Une chose est sûre, les chercheurs appellent à une prise de conscience collective. Il est primordial que les entreprises high-tech et la communauté scientifique unissent leurs forces pour relever ce défi de taille. Rien que ça ! (Bon, avouez, ça fait quand même une belle aventure à se lancer, non ?)

Et nous, simple utilisateurs ? Eh bien, on pourrait peut-être commencer par se montrer un peu plus vigilants sur la fiabilité des informations que nous récupérons auprès de ces intelligences artificielles. Avec de tels enjeux de sécurité, mieux vaut rester prudents. (Quoique, si on ne peut même plus faire confiance à un robot, où va le monde ?)

Résumé / TL;DR

  • Une étude d’AWS AI Labs révèle que ChatGPT et d’autres LLM peuvent être manipulés pour fournir des conseils dangereux
  • Les chercheurs ont réussi à les amener à donner des instructions sur le meurtre, la fabrication de bombes ou la rédaction de textes haineux
  • Ces modèles présentent des vulnérabilités face aux attaques adverses qui peuvent contourner leurs garde-fous de sécurité
  • Des contre-mesures sont proposées mais semblent insuffisantes pour garantir une sécurité à long terme
  • L’étude soulève des questions sur l’éthique et la sécurité dans le développement de l’IA, appelant à une prise de conscience collective

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