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Ah, l’intelligence artificielle ! Ce vaste domaine qui soulève autant d’espoirs que d’inquiétudes. Au cœur de ce tourbillon technologique se trouve un visionnaire : Sam Altman, le PDG d’OpenAI. Cet entrepreneur américain a une idée pour le moins surprenante : remplacer le revenu de base universel par un « calcul de base universel ». Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Accrochez-vous, on vous explique tout !
Sam Altman et OpenAI, les pionniers de l’IA
Avant d’entrer dans le vif du sujet, faisons un petit détour par les origines. OpenAI, c’est l’entreprise derrière le légendaire ChatGPT, ce chatbot qui a littéralement secoué le monde de l’IA en 2022. Derrière cette prouesse technologique se cache Sam Altman, un entrepreneur visionnaire qui n’a pas froid aux yeux.
Diplômé de l’université de Stanford (bon, il a abandonné après deux ans, mais qui n’a pas de petit écart de parcours ?), Altman a déjà une solide expérience dans le monde des startups. Il a cofondé Loopt, un service de réseau social mobile, et a été le président de Y Combinator, un accélérateur de startups réputé, de 2014 à 2019.
Altman est considéré comme l’une des figures de proue du boom de l’IA actuel.
Le revenu de base universel vs le calcul de base universel
Voilà, on a posé le décor. Maintenant, plongeons dans le cœur du sujet : le revenu de base universel (RBU) et le calcul de base universel (CBU), la proposition audacieuse de Sam Altman.
Le concept du RBU est simple : chaque citoyen recevrait une somme d’argent de base, sans condition de ressources ni obligation de travailler. Une idée séduisante, surtout dans un monde où l’automatisation et l’IA menacent de nombreux emplois. Mais pour Altman, il existe une meilleure solution que de distribuer de l’argent : partager le calcul d’un modèle d’IA comme GPT-7.
Le CBU expliqué en quelques mots
Bon, on vous voit venir avec vos questions : « Mais qu’est-ce que le CBU au juste ? » Alors, voilà l’idée en un clin d’œil :
Au lieu de recevoir un revenu fixe, chaque personne obtiendrait une part du calcul de GPT-7, le prochain grand modèle d’IA développé par OpenAI.
Cette part de calcul pourrait ensuite être utilisée, revendue ou même offerte à des projets de recherche, comme la lutte contre le cancer par exemple. Le but ? Que chacun puisse bénéficier de la productivité générée par l’IA, plutôt que de simplement recevoir de l’argent.
Les avantages du CBU selon Altman
Pourquoi Sam Altman penche-t-il pour le CBU plutôt que le RBU ? Eh bien, selon lui, cette solution permettrait de mieux redistribuer la richesse générée par l’IA. Au lieu de recevoir un revenu fixe, chacun aurait accès à une part de la « productivité » de GPT-7.
De plus, le CBU inciterait davantage les gens à se former aux nouvelles technologies et à développer leurs compétences pour tirer le meilleur parti de cette ressource en calcul. Un moyen de préparer la population aux emplois de demain, plutôt que de simplement leur donner de l’argent.
Les défis à relever pour mettre en place le CBU
Malgré ses avantages potentiels, le CBU soulève également son lot de questions et de défis. Tout d’abord, il faudra trouver un moyen équitable de distribuer ces parts de calcul. Comment s’assurer que chacun en bénéficie réellement, sans creuser les inégalités existantes ?
Ensuite, il y a la question de la formation. Distribuer du calcul, c’est bien joli, mais encore faut-il que les gens sachent l’utiliser. Un vaste programme de formation devra probablement accompagner le déploiement du CBU.
L’acceptation du public, un défi majeur
Enfin, et c’est peut-être le plus gros obstacle, il faudra convaincre le grand public des bénéfices du CBU. L’idée de recevoir de l’argent « gratuit » est séduisante, tandis que le concept du CBU peut sembler abstrait et complexe.
Bref, si le CBU a le mérite d’être une proposition originale et avant-gardiste, sa mise en œuvre soulève de nombreux défis techniques, logistiques et sociaux. Mais qui ne tente rien n’a rien, n’est-ce pas ? (Bon, ok, je l’admets, c’est un peu facile comme phrase, mais ça reste vrai !)
L’avenir de l’IA et de l’emploi selon Altman
Au-delà du CBU, Sam Altman a une vision assez tranchée sur l’impact de l’IA sur l’emploi. Selon lui, de nombreux métiers seront inévitablement remplacés par l’automatisation et l’intelligence artificielle. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui le pousse à envisager des solutions comme le CBU.
Cependant, Altman ne voit pas l’IA comme une menace, mais plutôt comme une opportunité de se réinventer et de se former aux emplois de demain. Une vision optimiste, mais qui ne fait pas l’unanimité auprès de tous les experts.
Le calcul de base universel : une solution d’avenir ?
Au final, que penser de la proposition de Sam Altman ? Le calcul de base universel est une idée certes originale, mais qui soulève de nombreuses questions pratiques et éthiques. Son application semble complexe, mais elle a le mérite de repenser notre rapport à la productivité et à la redistribution des richesses à l’ère de l’IA.
Seul l’avenir nous dira si le CBU deviendra réalité ou restera une simple proposition visionnaire. En attendant, une chose est sûre : le débat est lancé, et l’IA continue de bousculer nos certitudes. Ah, l’avenir va être passionnant, vous ne trouvez pas ? (Oui, bon, d’accord, c’était une petite pique un peu convenue pour conclure, mais j’assume !)
Résumé / TL;DR
- Sam Altman, le PDG d’OpenAI, propose le calcul de base universel (CBU) comme alternative au revenu de base universel (RBU)
- Avec le CBU, chacun recevrait une part du calcul du modèle d’IA GPT-7 à utiliser, revendre ou offrir
- Selon Altman, le CBU permettrait une meilleure redistribution de la productivité générée par l’IA
- Mais le CBU soulève de nombreux défis techniques, logistiques et sociaux à relever
- Le débat est lancé sur l’impact de l’IA sur l’emploi et les solutions à envisager