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Vous rêvez d’une carrière dans l’intelligence artificielle ? Préparez-vous à être choyé ! Le domaine de l’IA est en pleine effervescence, et les entreprises se livrent une véritable guerre pour attirer les meilleurs talents. Résultat, les salaires s’envolent, dépassant allègrement les six chiffres pour les profils les plus prisés. Voici un aperçu de cette folie des grandeurs.
Des salaires moyens alléchants dans les pays développés
L’expertise en IA se monnaye à prix d’or dans les pays développés. Eh oui, même dans des bastions de l’ingénierie comme l’Allemagne, un ingénieur en IA peut espérer empocher en moyenne
84 574 euros par an
(soit plus de 100 000 dollars, les petits malins). Le Royaume-Uni n’est pas en reste avec un salaire moyen annuel flirtant avec les 60 000 livres (environ 75 000 dollars, rien que ça !).
Traversons l’Atlantique, et la donne ne change guère. En Australie, le salaire d’un ingénieur en IA peut atteindre les
110 000 dollars australiens par an
(environ 75 000 dollars US, de quoi se payer quelques bouteilles de vin de qualité). À Singapour, pays réputé pour ses hauts salaires, un ingénieur en IA gagne en moyenne 74 943 dollars singapouriens par an (environ 55 000 dollars US, pas mal non ?).
Enfin, au Canada, le salaire annuel moyen d’un ingénieur en IA dépasse allègrement les 85 000 dollars canadiens (environ 63 000 dollars US). Bref, où que vous soyez dans le monde développé, l’IA représente un sérieux ticket d’entrée vers l’opulence (ou du moins, un train de vie très confortable).
Des entreprises prêtes à casser leur tirelire pour les meilleurs talents
Mais ce n’est rien comparé aux offres astronomiques que certaines entreprises n’hésitent pas à mettre sur la table pour s’attacher les services des rock stars de l’IA. Selon Polina Kolesnikova, analyste chez ZipRecruiter, « il est clair que les entreprises apprécient les compétences en IA et sont prêtes à payer le prix fort pour les acquérir, quel que soit le niveau de l’emploi » .
Les GAFAM en première ligne
Les géants de la tech comme Google, Amazon, Meta (Facebook) et Microsoft se livrent une concurrence acharnée pour débaucher les meilleurs profils. Pis, ils n’hésitent pas à débauchés des stars chez leurs rivaux ! Selon le rapport de ZipRecruiter, ces entreprises n’hésitent pas à « séduire les chercheurs et les ingénieurs en IA avec des salaires très élevés, des plans d’action et même des primes à la signature qui se chiffrent en millions » . Miam.
Leur stratégie ? Racheter des startups prometteuses, ouvrir des labos de recherche dans des régions riches en talents, ou encore investir massivement dans la formation (Amazon s’est engagé à former 2 millions de personnes à l’IA générative d’ici 2025 !). Tout est bon pour attirer la nouvelle vague de spécialistes de l’IA.
Des entreprises aux poches bien garnies
Mais les GAFAM ne sont pas les seuls mordus de l’IA. La banque JPMorgan a par exemple déboursé des millions pour créer un centre de recherche dédié à l’IA au sein de l’université Carnegie Mellon. Un investissement colossal, mais qui en dit long sur l’importance stratégique de ce domaine pour les grandes entreprises.
Même les entreprises plus modestes se mettent à la partie. Après tout, qui ne rêverait pas d’avoir son propre assistant IA maison ? Cela explique pourquoi de nombreuses boîtes proposent désormais des formations en IA, à l’image d’Amazon qui veut former 2 millions de personnes d’ici 2025 (et sûrement créer une armée de développeurs pour alimenter son offre en IA, les petits malins).
Un marché de l’emploi en pleine mutation
Cette demande effrénée pour les talents en IA est en train de remodeler le marché de l’emploi dans le secteur technologique. Selon les analystes, « les ingénieurs en IA font désormais partie des personnes qui gagnent le plus dans l’industrie technologique » . Une tendance qui devrait se renforcer à mesure que l’IA s’immisce dans tous les secteurs : finance, santé, transport, etc.
Eh oui, l’IA n’est plus une lubie de geeks, mais bien un enjeu stratégique pour de nombreuses entreprises soucieuses de rester compétitives. Comme le souligne Polina Kolesnikova, « alors que l’IA bouleverse une grande partie de l’industrie, elle place également la barre plus haut en ce qui concerne la rémunération des ingénieurs en 2024 » .
L’IA, un domaine qui promet de belles opportunités
Au final, cette ruée vers l’IA représente une formidable opportunité pour les ingénieurs et développeurs passionnés par cette technologie. Avec des salaires dépassant allègrement les 100 000 dollars par an (voire le million pour les plus chanceux), le secteur offre de belles perspectives de carrière et de rémunération.
Bien sûr, pour décrocher ces jobs de rêve, il faudra faire preuve de compétences solides et d’une réelle expertise en IA. Mais pour les talents motivés, prêts à se former en permanence, l’avenir s’annonce radieux. Alors, prêt à rejoindre la révolution de l’IA ?
