Sommaire
Félicitations, vous avez réussi en SEO ! Mais ce n’est pas fini…
Voilà, vous y êtes enfin arrivé ! Après des mois d’efforts, vous occupez la première page de Google pour ce mot-clé ultra-convoité. (On se réjouit avec vous et on applaudit, même si on se demande si vous n’avez pas un peu trop sacrifié votre vie sociale pour en arriver là. Mais bon, c’est le jeu !).
Maintenant que vous avez gravi cette montagne, l’heure est venue de défendre votre territoire. Parce que, croyez-moi, vos concurrents n’attendent qu’une seule chose : vous déloger de cette position privilégiée. (Ils doivent certainement mijoter un plan diabolique en ce moment même, ces petits chenapans !).
Selon une étude de SearchMetrics, seulement 5,7 % des mots-clés très convoités restent inchangés dans le top 20 des résultats de recherche Google sur une période d’un an.
Autrement dit, il ne suffit pas de décrocher ce précieux sésame. Le plus dur reste à venir : le conserver. Mais pas de panique, avec les bonnes stratégies, vous pourrez transformer ce succès éphémère en une position durable et rentable pour votre business.
Défendre votre moat : Comprendre l’importance de maintenir votre position dominante
Dans le monde du SEO, on appelle souvent une position de premier plan un « moat » (un fossé, en français). C’est une métaphore pour décrire la difficulté pour vos concurrents de s’immiscer sur votre territoire une fois que vous l’avez conquis.
Vous avez investi du temps, des efforts et des ressources pour construire cette confiance auprès de Google et des internautes qui vous trouvent. Ce n’est pas comme en publicité payante, où il suffit d’augmenter son budget pour prendre de l’élan. Ici, c’est un véritable investissement à long terme.
Une fois ce « moat » creusé, le succès peut devenir une sorte de mouvement perpétuel. Un meilleur classement attire plus de clics, ce qui vous apporte plus d’autorité… que vous pouvez ensuite réinvestir pour consolider encore davantage votre position. (C’est un peu le serpent qui se mord la queue, mais dans le bon sens !)
Se hisser dans le top 3 des résultats Google pour un mot-clé donné peut vous ouvrir bien des portes. Vous pourrez capitaliser sur cette autorité acquise pour produire du contenu connexe (articles de blog, podcasts, webinaires, etc.), mener des opérations de relations publiques ciblées, voire même organiser une session de questions-réponses sur Reddit avec votre PDG. (Pourquoi pas, après tout ? Quand on est au sommet, autant en profiter un peu !)
Une position de choix est un signal d’autorité. Et cette aura attire les internautes comme des mouches… qui n’hésiteront pas à visiter vos pages, partager votre contenu et ainsi alimenter un peu plus ce cercle vertueux. (Vous l’aurez compris, c’est un engrenage dont il est bon de profiter au maximum !)
Mais surtout, n’oubliez pas un point essentiel : en atteignant ce excellent classement, vous avez fait bien plus que générer du trafic. Vous avez gagné en crédibilité. Et avoir un plan pour exploiter cette nouvelle influence est la clé pour maintenir – voire améliorer – votre position dans la durée.
Trois scénarios courants qui peuvent faire chuter votre classement SEO
Même avec la meilleure stratégie pour défendre votre « moat », votre travail n’est pas terminé pour autant. Vous devrez vous préparer à trois scénarios assez fréquents, qui, s’ils ne sont pas pris en compte, pourraient bien faire s’effondrer votre précieux classement (ou votre sécurité d’emploi, au choix !).
Scénario 1 : La complaisance
Ouais, je sais… Après tous ces efforts, l’envie de vous récompenser par une petite pause bien méritée est grande. (Allez, un mois sans rien faire, ça ne fera de mal à personne, non ?) Sauf que… entre les nouveaux concurrents qui arrivent, les mises à jour d’algorithmes et les changements dans les pages de résultats (vous avez vu ces aperçus générés par l’IA, vous ?), il va falloir rester sur vos gardes pour conserver votre place au soleil.
Sans compter que vous avez probablement encore de belles opportunités à saisir pour capitaliser sur l’autorité que vous avez construite. Assurez-vous de collaborer étroitement avec vos équipes de publicité, de social media, d’email marketing et de relations publiques. Échangez vos analyses et vos insights pour leur permettre, elles aussi, de surfer sur la vague de vos mots-clés performants. (Faites tourner la machine, que diable !)
Discutez également avec vos équipes produits pour réfléchir à des moyens d’intégrer les mises à jour et les nouveaux lancements dans votre stratégie SEO. Votre position de choix vous offre une belle rampe de lancement : autant en profiter, non ?
Et surtout, restez à l’écoute des grands objectifs business pour vous assurer d’exploiter votre capital SEO de manière à cibler les indicateurs clés qui importent vraiment aux décideurs.
Scénario 2 : Rebranding ou changements de site
Un rebranding ou des changements d’URL, ça arrive. Souvent pour de bonnes raisons d’ailleurs : un produit n’est plus commercialisé, le PDG souhaite un nouveau nom pour s’ouvrir à de nouveaux marchés, etc. Évidemment, ce genre de modifications aura un impact indéniable sur vos classements. Pas de deux façons de le voir.
Alors, comment limiter la casse ? Avant toute chose, soyez clair avec votre client ou votre direction : cette décision affectera vos rangs dans les moteurs de recherche et l’engagement des internautes. Peu importe l’ampleur des ajustements que vous mettrez en place, il y aura toujours un contrecoup. Mieux vaut que toutes les parties prenantes en aient conscience avant de donner leur feu vert.
De votre côté, adoptez une approche maximaliste pour tenter de préserver un maximum de mots-clés et de contenus performants. Si un produit est abandonné et que vous devez rediriger son ancienne page vers une nouvelle, demandez si vous pouvez réécrire cette nouvelle destination en y injectant le contenu qui fonctionnait bien auparavant. Si ce n’est pas possible, songez à créer une autre pièce de contenu tirant parti de ces mêmes mots-clés gagnants, histoire de ne pas perdre tout le bénéfice de vos efforts.
Quoi qu’il arrive, vous aurez besoin d’une stratégie de redirections complète, ainsi que de remplacer et de mettre à jour tous les liens internes impactés. Que ce soit pour une simple page produit ou pour un site entier.
Scénario 3 : Faible taux de conversion malgré un trafic élevé
Ouais, les gros volumes de trafic organique, c’est génial. Sauf quand ces internautes ne convertissent pas du tout une fois sur votre site… (Aïe, aïe, aïe ! Dans ces cas-là, votre responsable va vous passer un savon, c’est moi qui vous le dis !)
Que faire alors ? Commencez par travailler sur l’optimisation des conversions de ces pages à fort trafic. Peut-être suffirait-il de quelques petits réglages pour améliorer significativement la collecte de données de première partie, la génération de leads voire même les ventes produits ?
Assurez-vous également de bien construire un réservoir de visiteurs à cibler en remarketing. Avec la disparition annoncée des cookies, ça va se compliquer, mais votre équipe analytics devrait déjà plancher sur des solutions alternatives. (Sinon, c’est peut-être un problème plus vaste que de simples conversions SEO ratées…)
Enfin, définissez des indicateurs de substitution pour valoriser ce contenu, même s’il n’est pas naturellement propice aux conversions (typiquement, quelque chose en tout début de parcours d’achat). On peut penser aux recherches de marque, au rayonnement global sur les autres canaux ou encore à votre positionnement par rapport aux concurrents directs sur ces sujets.
Maintenir et améliorer votre classement SEO
Atteindre un bon classement pour un mot-clé stratégique, c’est loin d’être une partie de plaisir. Alors se faire rappeler que ce n’est en réalité qu’un début peut sembler décourageant. (Je vous l’accorde, recevoir cette nouvelle après tous vos efforts, ça peut un peu vous gâcher la fête…)
Mais ne vous découragez pas pour autant ! Gardez le cap sur vos indicateurs clés et les grands objectifs business. Exploitez au maximum le capital autorité que vous avez constitué. Et restez vigilants aux évolutions constantes du paysage SEO, qui n’a de cesse de se réinventer.
Faites tout ça, et vous aurez de nombreuses occasions de trinquer avec vos collègues pour célébrer vos succès. (Alors, quand est-ce qu’on passe à la partie arrosage ?)
Selon Ahrefs, seulement 5,7 % des pages qui occupent le top 10 pour leurs mots-clés conservent leur position d’une année sur l’autre.
Une chose est sûre : maintenir un bon classement SEO relève d’un travail de tous les instants. Mais en restant proactif et en gardant un oeil avisé sur vos indicateurs clés, vous pourrez transformer cet accomplissement en véritable moteur de croissance pour votre business.
Une petite touche finale ?
Voilà, vous avez tout ce qu’il faut pour défendre cette position SEO acquise au prix de tant d’efforts ! Des stratégies pour éviter les pièges courants, des conseils pour capitaliser sur votre autorité fraîchement gagnée, et même quelques blagues pour vous remonter le moral quand les temps seront durs. (Parce que oui, il y en aura…)
Alors armez-vous de persévérance, et n’ayez crainte : avec les bonnes cartes en main, conserver vos rangs n’a rien d’insurmontable. Qui sait, peut-être qu’un jour, vos concurrents seront ceux qui chercheront désespérément à vous déloger ? (Rien que d’y penser, ça vous donne une chouette motivation, avouez !)
Bref, vous l’aurez compris : défendre sa position en SEO est un marathon, pas un sprint. Mais regardez le bon côté des choses : au moins, vous n’aurez plus à justifier votre utilité auprès de votre responsable !